Après la pluie

Le parcours de l’exposition

La tête dans les nuages

En introduction, un bac à sable à réalité augmentée permet de se plonger littéralement au cœur du nuage, l’inépuisable fabrique de la pluie. De manière ludique et multisensorielle, le projecteur relié à un ordinateur reconstitue en couleurs, sur du sable, le ruissellement des eaux. En pratique, le visiteur construit sa ville dans le sable et avec ses mains fait tomber la pluie, un peu, beaucoup, longtemps…

En prenant de la hauteur, le visiteur comprend ainsi comment ruisselle cette eau et l’impact de ces ruissellements sur la ville. Avec cette manipulation, il peut aussi mieux appréhender les conséquences du réchauffement climatique et de l’imperméabilisation du sol.

La pluie en ville, un enjeu historique

Notre dialogue entre la pluie et l’exposition permanente débute par un retour sur les défis les ingénieurs confrontés au voûtement de la Senne. Découvrez comment l’évolution de la ville impacte la gestion des eaux de pluie !

Des solutions basées sur la nature

À côté des systèmes développés par l’Homme, intéressons-nous aux solutions inspirées par la nature. Peu à peu, elles apparaissent dans l’espace public. Elles permettent de mieux lutter contre les inondations et les îlots de chaleur urbains étouffant la ville.

Restaurer le cycle naturel de l’eau

Les visiteurs nous demandent souvent si les égouts se jettent dans la Senne. La réponse est « non, mais… » ! En cas de fortes pluies, les eaux usées peuvent se déverser dans la rivière mais aussi dans le canal. Regard croisé sur l’évacuation des eaux de pluie.

Call to action !

Enfin, Après la pluie ne se limite pas aux constats. Les visiteurs s’inspirent de quelques exemples concrets de solutions GIEP. La Gestion Intégrée des Eaux Pluviales se donnent à voir dans les rues de Bruxelles. Elles ont un double objectif : éviter que l’eau de pluie ne ruisselle vers le réseau d’égouttage et reconnecter l’eau à son cycle naturel.

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